La valse lente des tortues

Zoé, Caroline, Sonia, Leonardo, Donatello, Raphael, Michelangeo… Quel nom lui avait-il donné ? Je ne m’en rappelle plus. Toutefois, cette première tortue était entrée dans sa vie et l’avait marqué… à vie.

Ecrivaine, soeur fidèle, délicate et prenant peu de place, elle habite désormais à Paris. A 2 filles. Désire écrire un nouveau roman… mais les idées manquent. Peut-être sa vie quotidienne va-t-elle lui fournir de nouvelles idées à coucher sous la plume ?

Colorée, burlesque, travailleuse, ses cheveux passent du rose au violet, du jaune au vert, un veritable arc-en-ciel changeant au cours des semaines. Elle veille sur l’immeuble, brique et astique les communs. Elle les connait tous, mais la connaissent-ils vraiment ? Sont-ils allés plus loin que le simple « bonjour » matinal ? ou du « merci » à la réception du courrier ?

Un col rouge aperçu dans le métro, une chaussure reçue au courrier… On le pense disparu, mort, mais serait-il toujours présent ? Les lettres arrivent, se suivent, se révèlent petit à petit. Continuons leur lecture.

Enrobée, radieuse, mère pour la première fois… L’Amour lui va à ravir et rayonne à mille lieues à la ronde, mais le bonheur est-il fait pour durer ? Le Mal peut-il nous le ravir du jour au lendemain, et faire de nous son pantin ?

Voici un court descriptif de certains personnages de ce roman écrit par Katherine PANCOL. Une façon de vous inviter à découvrir doucement un nouvel univers qui est le prolongement direct du roman « Les yeux des crocodiles ».

Pour une lecture des plus captivante, commencez par ce premier récit qui vous emmènera en Afrique au pays des crocodiles et qui vous introduira au monde extraordinaire de Joséphine, Zoé, Hortense et de nombreux autres personnages… Puis continuez avec « la valse lente des tortues » dont voici la présentation :

Ce livre est une bourrasque de vie… Un baiser brûlant du seul qu’on ne doit pas embrasser… Deux bras qui enlacent ou qui tuent… Un homme inquiétant, mais si charmant… Une femme qui tremble et espère ardemment… Un homme qui ment si savamment… Une femme qui croit mener la danse, mais passe son tour… Des adolescents plus avertis que les grands… Un homme qui joue les revenants… Un père, là-haut dans les étoiles… qui murmure à l’oreille de sa fille… Un chien si laid qu’on s’écarte sur son passage… Des personnages qui avancent obstinément… comme des petites tortues entêtées… qui apprendraient à danser lentement, lentement… dans un monde trop rapide, trop violent…

Références

Les Yeux jaunes des crocodiles – Prix Maison de la Presse 2006

La Valse lente des tortues

Les Écureuils de Central Park sont tristes le lundi

Le coffret complet de la trilogie : en cliquant ici

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